Que manger et boire en Équateur

Yuriye

Avec des géographies étonnamment contrastées emballées dans un seul pays, les offres culinaires de l'Équateur sont aussi variées et diverses que ses quatre régions. Les saveurs andines, les fruits de mer côtière, les recettes afro-écuadoriennes et les influences espagnoles convergent pour créer une scène de nourriture et de boisson éclectique et innovante.

Alors que les débats animés sur la région ont la meilleure nourriture sont monnaie courante, la culture axée sur la nourriture des Équatoriens et une identité forte lient toutes les régions ensemble. Les Écuadoriens sont fiers de leurs plats nationaux et s'engagent à préserver leurs recettes traditionnelles et à les présenter sur la scène mondiale.

Voici notre guide des expériences de nourriture et de boissons populaires que vous ne devriez pas manquer lorsque vous atterrissezEquateur.

Arrêtez-vous à Latacunga pourchugchucaras

Enraciné dans la culture créole et se vanter d'une histoire couvrant plus de 70 ans,chugchucaraest l'un des plats les plus représentatifs des hauts plateaux centraux. Originaire de la province de Cotopaxi, ce plat salé combine une sélection d'ingrédients terreux, y compristruquer(Hominy),grillé(maïs grillé) et pommes de terre bouillies.

Les pièces maîtresses de Chugchucara sont de la viande de porc et des morceaux de cochon à peau croquante frites dans de grands pots en bronze (Paila en bronze), un ustensile de cuisine autrefois populaire dans les cuisines équatoriennes qui a maintenant été largement remplacée par des ustensiles de cuisine modernes. Pour équilibrer les saveurs, ce plat, généralement plaqué dans de grands plateaux circulaires, comprend égalementmaduro(plantain mûr) et empanadas.

Où l'essayer:Bien que traditionnelmarchés(Marchés) À Latacunga, la capitale de Cotopaxi, offrira des prises de qualité sur ce plat andine, l'endroit le plus populaire pour l'essayer estChugchucaras maman noire. Situé dans le centre de Latacunga, ce restaurant décoré en bois est une recommandation supérieure parmi les habitants.

Guayaquil est l'endroit idéal pour essayer encebollado (ragoût de poisson) © Fotos593 / Shutterstock

TacleChuchaqui(gueule de bois) avec unmarque

Considéré comme l'un des meilleurs plats de soupe au monde,marqueest un autre favori national. Le ragoût de poisson salé est l'un des meilleurs plats deGuayaquil, Deuxième ville et port principal de l'Équateur.

Selon ce qui aide à s'attaquer à la gueule de bois, ce délicieux ragoût est généralement consommé le matin - bien qu'il n'y ait pas de mauvais temps ou de mauvais endroit pour manger un encebollado.

La recette se compose d'unyucca(Cassava) et la base d'Albacore améliorée avec des oignons marinés, de la coriandre et diverses épices sur le dessus.

Où l'essayer:Décider où accrocher un bol d'Ecebollado ne sera pas une tâche facile -Guayacos(Les gens de Guayaquil) ne seront jamais d'accord sur un seul endroit et leurs recommandations varieront considérablement des stands de rue aux restaurants de l'hôtel. Cela dit, certains des restaurants Encebollado les mieux notés de la ville comprennentLa maison de l'EastebolladoetLe poisson volant.

Goûtez certains des meilleurs chocolats du monde

En 2018, les chercheurs ont retracé les premières preuves de l'utilisation du CACAO il y a au moins 5 300 ans en Équateur actuel. Aurait été initialement utilisé dans les rituels de cérémonie, le CACAO est resté une partie importante de l'histoire équatorienne au fil des ans.

Tout au long des XIXe et XXe siècles, le soi-disant «boom du cacao» a transformé l'Équateur en le plus grand exportateur de cacao mondial, contribuant considérablement à l'économie du pays avant que le produit ne tombe radicalement de la grâce en raison de problèmes agricoles dans les années 1900.

Mais grâce à sa saveur de haute qualité, légèrement amère et son arôme floral, le cacao équatorien a rappelé comme l'une des exportations importantes du pays ces dernières années. Les haricots de cacao salués au niveau international et les chocolattes contemporains ont déclenché une nouvelle vague de production de chocolat en Équateur.

Où l'essayer:Si vous êtesQuito, allez directement au primeRépublique de cacao, où vous trouverez du chocolat sous toutes les formes, de la crème glacée aux pâtisseries, ou réservez une dégustation àChocolate Minkadans le centre historique. Si vous touchez dans la région de la côte ou de l'Amazon, trouvez des fermes biologiques commeCommencer, où vous pouvez réserver une tournée qui vous mènera à travers l'histoire et la production du célèbre haricot nacional Arriba d'Équateur - et oui, il y a des échantillons.

Découvrez le ceviche équatorien

Appuyant dans la richesse de nos mers et de nos mangroves, le ceviche équatorien est une préparation souple de fruits de mer crus marinés avec du citron, du citron vert et / ou du jus d'orange. Les recettes de ceviche varient selon les provinces et les ingrédients disponibles, mais ils comprennent généralement des crevettes, des mollusques et des poissons, marinés avec des jus d'agrumes.

Servi froid, il est ensuite garni d'oignons marinés, de tomates hachées et d'un mélange deciboulette(Plantain vert frit en tranches),grillé(maïs grillé) et pop-corn.

Peu importe ce que disent nos voisins péruviens, cela ne ressemble en aucun cas à leur célèbre ceviche andine, qui est servi sans le liquide citrique qui rend le ceviche équatorien si unique. Au lieu de cela, le ceviche péruvien s'accompagne de patates douces, de laitue et parfois de maïs frais.

Où l'essayer:À Guayaquil, dirigez-vous vers le haut de gammeMaison julienne. À Quito, profitez de ceviche à l'un desQuito'Restaurants de fruits de mer,Ceviches de la rumiñahui. Si vous êtes pour une interprétation gastronomique et un spin moderne,Bela naviguants'adaptera à la facture.

Le marché de Sangolquí est <em>l'</em> endroit idéal pour essayer le célèbre <em>Hornado</em> © Hornado d'Équateur / Ecuadorpostal

Profitez des plats à base de porc

Hornado(porc cuit au four) etfrit(porc frit en bronze) sont des piliers de la cuisine équatorienne. Les deux plats, légèrement modifiés à travers la serranía équatorienne, mais les recettes traditionnelles sont plaquées aveclampingachos(Lire ci-dessous), Mote et autres plats latéraux - généralement des garnisons à base de maïs, de la laitue, des salades et de l'avocat.

Où l'essayer:Trouvez le meilleurHornado Pasttuso, une variante qui est servie avec les jus restants du porc, sur les marchés traditionnels de la province de Carchi. Si vous êtes à Quito, dirigez-vous vers le sud-ouest via l'autoroute Ruta Viva à Sangolquí. Évitez les grands restaurants là-bas à tout prix et allez directement aux tribunes de Mercado de Sangolquí, oùfait maison(les vendeurs) vous offriront une petite portion avant de décider où acheter.

Quant à Fritada, vous trouverez la recette la plus typique àFritty Amazonasà atuntaqui ouDoña Haciendaà Cayambe. Vous pouvez également opter pour des adaptations haut de gamme dans des endroits commeMarché mixteetZéroDans QUITO.

Un avant-goût des Highlands:lampingachos

Populaire dans les hautes terres andines,lampingachossont des galettes à base de pommes de terre en purée qui ont été colorées avec quelques gouttes d'Achiote et remplies de fromage et frites des deux côtés jusqu'à ce qu'elles soient croustillantes.

À Riobamba et Ambato, les llapingachos sont garnis d'oeufs au plat, de chorizo et de salades. À Quito et ses environs, les llapingachos sont accompagnés decaucara(boeuf), salade de betteraves et avocat.

Où l'essayer:À Ambato et Riobamba, respectivement, se dirigez-vous vers les marchés traditionnels Mercado Central de Ambato et Mercado de la Merced pour un avant-goût des llapingachos les plus authentiques du centre des Highlands.

Ravir votre bouche avec des plats de plantain

Tigrillo, bowling, patacones, crisples -La liste des plats bien-aimés à base de plantain se poursuit. Les Écuadoriens dans la région côtière (où vous trouverez la plupart des plantations de plantaine et de bananier du pays) ne passera pas un jour sans se livrer à ces spécialités.

Considérés comme des agrafes de la cuisine traditionnelle, ces plats ont tous du plantain vert comme ingrédient fondamental, mais il est servi dans plusieurs présentations différentes. Tigrillo, par exemple, combine le plantain vert purée avec du fromage, des œufs etcrépitement(Valeur de porc frits). Pendant ce temps, Bolón est, en substance, une boule de plantain verte de purée de fromage etcrépitement, Fried frit dans l'huile.
Où l'essayer:Presque partout en Équateur, vous trouverezennemis(Peuple manabí) etGuayaco-Les restaurants proposés offrant des aliments de plantain vert. Si vous voyez des gens faire la queue à côté de petits stands, cela pourrait être votre signal pour vous arrêter. Pour une version nouvelle et non traditionnelle de Green Plantain, dirigez-vous versCône royalÀ Guayaquil, où ils servent des cônes de plantain farcis de fruits de mer, de poulet et même de ceviche.

Helado de Paila, la crème glacée traditionnelle de l'Équateur, est fabriquée dans un pot en bronze © Shutterstock

Délices doux

Que vous vous promeniez dans les rues d'Ibarra ou que vous vous réprimandiez sur la plage, il y a de fortes chances que vous rencontrerez facilement des desserts et des délices doux.

Si vous avez une dent sucrée, les options sont infinies - à partir de la bronze artisanaleCrème glacée(glace) etSalcedo Ice Cream(bâtons de crème glacée) au sucréQuinbolitos(pâtisseries cuites à la vapeur dans une feuille) ethumidité(Gâteaux de maïs cuits à la vapeur).

Où l'essayer:Dirigez-vous vers Salcedo, une petite ville de la province de Cotopaxi, pour un avant-goût de leur célèbre Helados de Salcedo - ou sauvez-vous le voyage et trouvez-les dans votre épicerie la plus proche. À Quito, arrêtez-vous dans les cafétérias et les boutiques de sweets les plus populaires du centre historique, notammentCafétéria modèle, Colonial Dulceía ou le restaurant àQUITO COLONIAL HOUSE.

Que peuvent manger végétariens et végétaliens en Équateur?

Bien que les menus spéciaux végétariens et végétaliens soient rares, les personnes ayant des exigences spécifiques sur l'alimentation ne mourront pas de faim en Équateur.

Plats à base de maïs et de plantain, ainsi que des soupes (Pape Locro,Sopa de fideoetSoupe au quinoa), exclure généralement la viande - mais toujours à double revérifier pour faire bonne mesure.

Grâce à la richesse de notre sol et aux conditions météorologiques favorables, la plupart des légumes sont disponibles toute l'année et une grande variété de salades font partie des régimes quotidiens des Équatoriens. De nombreux plats peuvent également être servis sans protéines à base de viande ou remplacés par un œuf au plat.

Grâce à l'appréciation des Équatoriens pour la nourriture et leur hospitalité, vous trouverez très probablement toujours une solution afin que personne ne soit exclu de profiter de plats délicieux. Tant que vous demandez respectueusement et faites des demandes raisonnables, ils s'adapteront.

Cependant, sachez que demander des prix spéciaux ou demander quelque chose qui ne fait pas partie du menu sous quelque forme que ce soit ne sera pas faisable dans la plupart des cas.

Un an dans la nourriture

Les Écuadoriens sont des gourmets innés, il est donc logique que bon nombre de leurs vacances et festivités soient célébrées avec des plats spécialement conçus pour l'occasion. Cela signifie que certaines de leurs offres gastronomiques les plus populaires ne seront disponibles que pendant certaines périodes de l'année.

Mars - avril

Destiné à être mangé spécifiquement pendant la semaine sainte,Fanescaest une soupe de citrouille crémeuse mélangeant jusqu'à 12 types de céréales, y compris du maïs frais, des haricots, des pois et des haricots de chocho. La soupe est garnie d'oeuf durs, de petites empanadas et de poisson séché - bien que vous puissiez vous retirer de ce dernier.

Octobre-novembre

Jour des morts(2 novembre) apportecasting violet(une boisson aux fruits rouges et au maïs noir) etPain guaguas(grossièrement traduit par «pain bébé») vers les tables des Équatoriens. Cette boisson et la collation qui l'accompagnent sont imprégnées de syncrétisme, car elles sont associées à des rituels autochtones effectués depuis les temps précoloniaux pour honorer les morts.